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Waneek Horn-Miller’s story didn’t begin and end with being the first Mohawk woman to become an Olympic athlete; it started with the struggles her mother faced raising four daughters and instilling in them hope and resilience to navigate their life paths. This resilience allowed her to fight her way back from a near-death experience after being stabbed by a soldier during the Oka Crisis to propel her to be co-captain of the Canadian Olympic Water Polo Team. It would also propel her to become an entrepreneur, an activist, a bridge-builder between Indigenous and non-Indigenous Peoples, and someone who is working on empowering Indigenous women and economic reconciliation.

“If we want reconciliation, for ourselves and our children, we need to have hard conversations, build common ground, and really listen to each other."

L’histoire de Waneek Horn-Miller n’a pas commencé et ne s’est pas terminée par le fait d’être la première femme mohawk à devenir une athlète olympique; elle a commencé par les difficultés que sa mère a dû surmonter pour élever ses quatre filles et leur inculquer l’espoir et la résilience nécessaires pour se frayer un chemin dans la vie. Cette résilience lui a permis de se remettre d’une expérience de mort imminente après avoir été poignardée par un soldat pendant la crise d’Oka et de devenir cocapitaine de l’équipe olympique canadienne de water-polo. Elle l’a également poussée à devenir une entrepreneuse et une militante, et à jeter des ponts entre les Autochtones et les non-Autochtones; elle s’efforce en outre de faciliter l’autonomisation des femmes autochtones et la réconciliation économique :

« si nous voulons la réconciliation, pour nous-mêmes et pour nos enfants, nous devons oser dire des choses difficiles, trouver un terrain d’entente et vraiment être à l’écoute des autres. »